Comme nous l'avons mentionné ici, une preuve de vie de l'Institut national de la sécurité sociale est à nouveau exigée au Brésil, mais avec quelques changements dans la manière dont elle est effectuée. Il a été annoncé par le ministre de la Sécurité sociale, Carlos Lupi, qu'il faudra procéder à la preuve de vie à partir du jeudi 26 janvier dernier.
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Bien qu'elle ait été suspendue en 2020, la preuve de vie sera à nouveau une mesure annuelle obligatoire de l'institut. Or, par le passé, il fallait que les retraités, pensionnés et bénéficiaires de l'INSS se présenter en personne à n'importe quel organisme de sécurité sociale pour prouver qu'ils sont vivants, lorsque convoqué.
Désormais, la preuve de vie sera réalisée de manière plus technologique, en étant réalisée numériquement. Cela sera possible car l'INSS utilisera un nouvel outil qui croise les données de différents organismes publics, permettant ainsi d'identifier les assurés qui ont enregistré une activité récente.
Si le gouvernement n'obtient pas suffisamment d'informations pour une preuve de vie, l'assuré en sera avisé et pourra téléphoner et confirmer. Toutefois, s'il n'apporte pas de justificatif dans les 60 jours, un serveur de l'INSS sera envoyé au domicile de l'assuré.
S'il n'est toujours pas possible de trouver le bénéficiaire, la prestation sera bloquée pendant 30 jours et si l'assuré ne manifeste dans ces 30 jours, la prestation sera dûment suspendue, étant définitivement annulée après six mois supplémentaires à compter de ce suspension.
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