Selon la décision récemment prise par la Cour suprême de justice (STJ), les assurés qui ont reçu prestations de sécurité sociale par le biais d'un dégrèvement anticipé, s'ils perdent le processus en question, ils doivent restituer le valeurs. Dans ce contexte, l'INSS peut facturer environ 30% par mois aux assurés qui ont perdu le processus.
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Afin de comprendre la raison pour laquelle certains bénéficiaires sont invités à restituer les sommes, il est nécessaire de comprendre quelle est la tutelle anticipée. Il s'agit d'une décision intermédiaire du tribunal, capable d'anticiper les effets d'une peine donnée. En ce sens, le juge garantit l'anticipation du bénéfice par rapport à l'attente qui peut durer des années.
La thèse fixée par la STJ, thème 979, dit que la situation de bonne foi de chaque assuré doit faire l'objet d'une enquête. Ainsi, si une erreur est constatée dans l'analyse qui conduit à une compréhension sans équivoque de l'irrégularité du paiement, la restitution des sommes sera demandée.
Selon le responsable de la décision, cet examen doit être effectué au cas par cas pour prouver certaines irrégularités dans l'application de la loi. Un cas qui a attiré l'attention publié dans MS 19.260, par exemple, était celui d'un fonctionnaire sans enfants qui, en raison d'une erreur administrative, a reçu une aide à l'accouchement.
Cependant, la décision prise par la STJ, dans ce cas, peut être préjudiciable à certains travailleurs, car elle s'applique directement à ceux qui revendiquent le droit aux prestations de sécurité sociale en raison d'un handicap et d'une aide judiciaire refusée par l'INSS.
Les plus touchés sont donc ceux qui ont agi de bonne foi et devront restituer les sommes, ce qui affecte certainement une partie des revenus mensuels de ces bénéficiaires. D'autant plus ceux qui ont déjà une partie de leur salaire retenue pour le paiement des prêts sur salaire.