Le projet de loi n° 165/22 est en cours d'examen par le Congrès national, dont l'intérêt principal est d'établir le exonération d'impôt sur le revenu pour les enseignants. Dans ce cas, la proposition vise à garantir de meilleures conditions d'enseignement au Brésil, en commençant par encourager les enseignants. Après tout, il y a encore un énorme débat dans le pays sur la nécessité de valoriser les professionnels de l'éducation par des mesures gouvernementales. Cependant, il reste à voir si la proposition sera approuvée ou non, ce qui devrait arriver bientôt, car elle est de nature concluante.
En savoir plus: L'exonération de l'impôt sur le revenu peut atteindre 3 R$. 300 en 2022
voir plus
La compagnie lance la 1ère "soucoupe volante" pour les membres d'équipage; rencontrer…
Mercure est entré en Lion; découvrez comment cela affectera votre signe
Pour l'instant, ce projet de loi n'a toujours pas de résolution, bien qu'il ait une certaine force parmi les membres du Congrès et la classe elle-même. Cependant, il faudra encore passer par la commission de l'éducation, des finances et de la fiscalité, et aussi la commission de la constitution, de la justice et de la citoyenneté.
Selon l'auteur de la proposition, le député Rubens Otoni, de PT Goiás, les questions liées au budget ont un impact sur la valorisation de l'enseignement. De cette façon, ce serait un moyen d'encourager la reconnaissance des enseignants au niveau national, ainsi qu'un retour pour l'exercice.
Par conséquent, le projet ne cherche pas à faire de distinction entre les enseignants, par exemple en fonction du niveau d'enseignement dans lequel ils travaillent. En d'autres termes, des enseignants de maternelle aux enseignants de niveau doctoral dans les établissements d'enseignement supérieur auraient droit à une exemption. De même, il n'y aurait pas de distinction salariale, puisque les salaires les plus bas vers les plus élevés recevraient l'avantage.
En outre, on parle également de la nécessité de former de nouveaux enseignants au Brésil, une profession rejetée par les jeunes professionnels en raison de la dévaluation. Car les bas salaires, la faible représentativité professionnelle à travers les débats nationaux et les difficultés d'exercice inhibent l'envie de poursuivre cette carrière. D'autre part, l'impartialité pourrait être un critère de plus pour accroître l'intérêt pour le métier, notamment auprès de la nouvelle génération, qui recherche des opportunités d'emploi plus complètes.