Selon une étude récente, les styles parentaux hostiles étaient associés à une augmentation de 150 % des risques pour les enfants de développer des problèmes de comportement. santé mentale.
L'étude suggère que l'hostilité psychologique des parents peut être tout aussi nocive, sinon pire, que l'hostilité physique. D'autres cas transversaux ont également été considérés dans la recherche.
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Des études ont souvent montré que la parentalité hostile peut prendre de nombreuses formes, y compris la punition une activité physique régulière, criant constamment après les enfants et sapant leur estime de soi par des critiques fréquentes. De plus, l'hostilité psychologique peut être tout aussi nocive, sinon pire, que l'hostilité physique.
Dans l'étude Grandir en Irlande, plus de 7 000 enfants âgés de 3, 5 et 9 ans ont été suivis pour évaluer leur risque de problèmes de santé mentale.
Les résultats ont révélé qu'environ 10 % des enfants couraient un risque élevé d'éprouver des problèmes de santé mentale. La recherche a abordé un large éventail de questions liées au bien-être psychologique. Vérifiez le résultat !
Les symptômes d'intériorisation, qui comprennent le retrait social et l'anxiété, et les symptômes d'extériorisation, tels que l'agressivité, l'hyperactivité et l'impulsivité, ont été étudiés.
Ces indicateurs permettent de comprendre l'impact de l'hostilité parentale et d'autres facteurs sur le développement émotionnel et comportemental des enfants.
La prise de conscience qu'un enfant sur 10 tombe dans la catégorie à haut risque de problèmes de santé mentale est une source de préoccupation. préoccupation, et il est important de reconnaître l'influence des parents dans ce contexte, comme l'a révélé Ioannis Katsantonis, le premier auteur du recherche.
Il est pertinent de considérer que nous ne suggérons pas que les parents ne devraient pas fixer de limites claires au comportement de leurs enfants.
Avant de penser ainsi, il est nécessaire de réfléchir aux implications pour la santé mentale du recours, fréquent, à une discipline sévère.
Dans l'étude, les chercheurs ont évalué les parents sur les trois styles parentaux suivants :
Les résultats ont montré que les parents qui adoptaient un style hostile augmentaient de 150 % le risque de problèmes de santé mentale chez les enfants à 9 ans. De plus, il est important de noter que le style parental n'était pas le seul facteur déterminant.
D'autres facteurs, tels qu'un statut socio-économique inférieur, des familles monoparentales (un seul parent) et le sexe féminin des enfants, étaient également associés à un risque plus élevé de problèmes de santé mentale.
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