On se demande toujours si les femmes ressentent plus de douleur que les hommes. Généralement, ce sont elles qui doivent endurer les principales douleurs, comme les crampes, les douleurs de l'accouchement et autres complications typiques de la vie féminine.
Une enquête menée par des Canadiens a montré que les hommes et les femmes ressentent la douleur de différentes manières, et l'explication réside dans l'activité de certains neurones de la moelle épinière. Veulent en savoir plus? Suivez le texte !
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L'étude a été développée par des chercheurs de l'Institut de recherche de l'Hôpital d'Ottawa et de l'Université Carleton, tous deux au Canada, et publiée par la revue scientifique Brain. Dans ce document, des commentaires sont faits sur la façon dont les hommes peuvent ressentir la douleur d'une manière différente de celle des femmes.
Après quelques tests sur des souris et des humains, il a été conclu que les cellules traitent les signaux de douleur différemment chez les femmes par rapport aux hommes.
Le résultat de la recherche est lié à un dimorphisme sexuel en relation avec le mécanisme neuronal central qui cause la douleur chronique chez toutes les espèces. Cela permet à la médecine de comprendre dans quelle mesure la douleur affecte ses patients et comment il est possible de traiter chaque cas spécifique.
Pendant longtemps, la question de savoir comment les deux sexes ressentaient la douleur planait dans l'univers de la recherche, après tout, les femmes finissent par souffrir de différents types de douleur tout au long de leur vie. Cependant, d'une certaine manière, lorsque les chercheurs se consacraient à la recherche sur la douleur, ils étudiaient généralement du point de vue de leurs cobayes, qui étaient souvent des hommes.
Ainsi, la recherche développée par l'Université du Canada a changé de stratégie. L'étude visait à étudier la moelle épinière des femmes et des hommes, démontrant une percée dans le domaine de la science et montrant un résultat innovant pour la société.
Avec cela, une grande avancée est permise dans le monde scientifique, dans la mesure où il est possible de distinguer et de rechercher les meilleures formes de traitement pour un cas donné et un sexe donné.