Ceux qui ont reçu une aide d'urgence de manière irrégulière devront restituer le montant au gouvernement, mais peuvent le faire en 60 versements maximum.
Jeudi dernier, le gouvernement a publié un décret qui stipule que toutes les personnes qui ont reçu une aide d'urgence indûment devront restituer la prestation. L'aide a été accordée en 2020 et 2021, et toute personne qui doit restituer les montants peut le faire en 60 versements.
voir plus
Neuvième économie de la planète, le Brésil compte une minorité de citoyens…
Électroménagers: voyez quels produits le gouvernement veut réduire…
Ceux qui doivent restituer l'aide sont ceux qui n'étaient pas dans les règles pour la recevoir au moment de la demande ou n'en avait plus le droit en la recevant et continuait tout de même à recevoir. Cela peut être dû à de fausses informations au moment de la demande ou à une erreur de maintenance ou de révision.
Le remboursement ne sera facturé qu'aux personnes dont le revenu par habitant est supérieur à la moitié du salaire minimum ou dont le revenu familial mensuel est supérieur à trois salaires minimums.
Si le gouvernement identifie l'erreur avec l'aide, le bénéficiaire recevra une notification par e-mail, SMS, via la banque, par courrier, en personne ou par avis public. Et après avoir été avisé, le paiement doit être effectué en émettant un Guide de collecte, qui peut être payé en espèces ou en 60 versements. Cependant, le versement minimum doit être de 50,00 R$ et peut être payé dans n'importe quelle banque.
Le bénéficiaire qui n'est pas d'accord avec la charge peut la contester dans les 30 jours suivant la réception de la notification sur le site Internet du ministère de la Citoyenneté. Et si l'appel est rejeté et que le bénéficiaire n'effectue pas le paiement, le gouvernement fera une charge extrajudiciaire qui, si elle n'est pas payée, sera transmise à Serasa.
Pour être considéré en défaut, le bénéficiaire devra ignorer le paiement pendant 60 jours après la notification, sans même avoir demandé d'acompte ou de défense du remboursement.
La charge devrait coûter 21,8 millions de reais aux caisses publiques jusqu'en 2024.
Amateur de films et de séries et de tout ce qui touche au cinéma. Un curieux actif sur les réseaux, toujours connecté aux informations sur le web.