Un projet de loi est en cours de traitement dans les couloirs du Congrès national qui faciliterait grandement la vie des retraités qui souhaitent avoir accès au crédit. Dans ce cas, il s'agit du PEC nº 495/2022, qui vise à réduire le prix payé par les personnes âgées dans les accords signés.
Pour cela, la loi exonérerait cette partie de la population de la Taxe sur les Obligations Financières (IOF). Avec cette mesure, il serait possible de les prêts les moins chers pour les retraités, afin qu'ils puissent se permettre des dépenses ou investir dans leurs propres projets.
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Cependant, il convient de mentionner que le projet de loi n'a pas l'intention de bénéficier à tous les retraités de l'exonération de l'IOF. En effet, l'avantage ne serait accordé qu'aux retraités de 75 ans ou plus. Avec cela, ce groupe n'aurait pas besoin de remettre une partie du montant du prêt pour le taux d'imposition.
Avec des valeurs plus abordables, on s'attend à ce que le nombre de prêts accordés soit également plus important. Après tout, les taux d'imposition peuvent augmenter considérablement la valeur, ce qui rend l'ensemble de l'opération invalide. Mais une fois le taux disparu, il serait plus facile, même pour les banques, d'approuver des lignes de crédit.
De plus, on soutient que les personnes de cet âge ont tendance à faire face à des exigences excessives, en particulier avec les dépenses liées à la santé, telles que les procédures et l'utilisation de médicaments. Par conséquent, la conception de la prestation serait une façon de répondre à ces demandes et d'offrir une meilleure qualité de vie aux retraités.
Le texte du projet d'amendement constitutionnel est toujours au Congrès national. Il dépend donc de son approbation pour se rendre au Sénat fédéral, ainsi qu'à la table du Président de la République.
Cependant, jusqu'à présent, il n'y a pas eu de mouvement majeur dans la Chambre pour l'approbation ou même le débat autour de cette question. Même si de nombreux députés sont intéressés par le débat, il manque encore une plus grande participation de leur part pour que le texte avance. Ainsi, une première étape est attendue pour une éventuelle approbation.