Sur plus de 8 800 jardins d'enfants et écoles qui auraient dû être construits depuis 2007, avec le Programme national de restructuration et d'acquisition de Équipements du réseau scolaire public pour l'éducation de la petite enfance (Proinfância), moins de la moitié a été achevé et un peu plus de 1 400 ont été livrés à population.
Cela signifie qu'au moins 1,2 million de bébés et d'enfants ne pourraient pas être inscrits au réseau public dans des postes vacants qui, sans la conclusion des travaux, ne pourraient pas être ouverts. Le diagnostic a été posé par des spécialistes lors d'une audition publique de la Commission de la transparence, de la gouvernance, de l'inspection et du contrôle et de la protection des consommateurs (CTFC).
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Les crèches et les écoles maternelles ont été financées par les ressources de l'Union. La ressource provenait du Fonds national de développement de l'éducation (FNDE), qui était dirigée vers les municipalités. Les villes ont reçu des ressources par le biais d'accords jusqu'en 2012.
Selon les données présentées par les organismes de contrôle lors de la réunion, les erreurs vont de la méthode de construction choisie au manque de supervision. 6,4 milliards BRL ont été transférés, sur un total de 13,7 milliards BRL prévus dans Proinfância.
Selon José Paulo Barbiere, du Contrôleur général de l'Union (CGU), jusqu'en mars 2017, sur les 8 824 crèches conventionnées, 3 482 étaient terminés, et parmi ceux-ci, seuls 2 708 avaient tous les services entièrement exécutés et 1 478 étaient en cours. opération.
710 du total sont abandonnés, c'est-à-dire que le contrat avec l'entreprise de construction a été résilié sans terminer les travaux. 304 autres sont paralysés, mais avec des contrats en vigueur.
La construction de 1 860 jardins d'enfants avait déjà été annulée sans aucune exécution malgré le déblocage de fonds, entraînant un gaspillage d'environ 2 milliards de reais. Sur les 1 645 encore en cours, 85 % sont en retard ou au point mort.
Si toutes les crèches et écoles maternelles convenues avaient été achevées, a averti Barbieri, plus de 1,8 million de postes vacants auraient été ouverts. Ce nombre est proche des 2,3 millions de places nécessaires pour atteindre les objectifs du Plan national de l'éducation (PNE).
Le plan vise à scolariser 50 % des enfants de 0 à 3 ans dans les jardins d'enfants et 100 % des enfants de 4 à 5 ans dans les écoles maternelles. Avec les 1 478 logements en exploitation, seuls 600 000 nouveaux logements ont été proposés, soit le tiers de ce qui avait été initialement prévu. Avec des informations de Sénat Nouvelles.