L'un de ces changements est que, contrairement aux années précédentes, les candidats qui ne respectent pas les droits de l'homme lors de l'épreuve d'écriture ne se verront pas attribuer la note de zéro lors de l'évaluation.
Dans le texte de l'avis, cela n'est pas mentionné comme une cause susceptible d'amener la banque à donner un score nul dans ce cas. Initialement, la règle a été suspendue par le bureau du procureur général (PGR).
La ministre de la Cour suprême fédérale (STF), Carmem Lúcia a maintenu la décision du PGR. Et la règle est entrée en vigueur pour l'examen de 2017. Au moment de la décision du STF, le coordinateur du Movimento Escola Sem Partido, Miguel Nagib, responsable de l'action publique, a déclaré qu'il attendait la décision favorable du STF.
L'allégation du Mouvement qui a déplacé l'action est que les critères de correction dans l'Enem lors de la mise à zéro des essais qui blessent le droits de l'homme dans des essais antérieurs, est que le droit des candidats à la libre expression de pensée serait offensé.
En 2018, en pratique, les étudiants qui passent les examens Enem ne pourront pas recevoir un score nul si l'évaluateur bancaire considérer que le texte va à l'encontre des principes des droits de l'homme, comme dans les cas de défense de l'avortement, pour exemple.